“ Charlize Torrance Tompson ” I'm vingt& un ans ● née le neuf mai mille-neuf-cent quatre-vingt neuf à toronto ● canadienne avec origines allemandes ● hétérosexuelle ● intègre les cours de chants& photographe à ses heures perdues ● employée à mis-temps dans un starbucks coffee ● rentre en première année dans l'établissement prestigieux d'arts de miami. « I CAN'T TELL YOU WHAT IT REALLY IS, I CAN ONLY TELL YOU WHAT IT FEELS LIKE & I CAN SHOW YOU ♡ » «Ma vie est un véritable bordel, une cacophonie monstrueuse au-quelle il m'est impossible de faire face» Je n'ai jamais su pourquoi une telle chose c'était produite, pourquoi dés ma naissance, j'étais différente des autres enfants, pourquoi dans ma tête, à peine sortie du ventre de ma chère et tendre mère, tout allait déjà de travers et pourquoi ils m'ont tragiquement abandonnée .. Je suis née dans la charmante et immense ville de Toronto qui se situe actuellement à quelques kilomètres d'Ottawa, à la limite même de la frontière Américaine qui sépare le Canada et les Etats Unis. Ma mère ne connu pas mon père biologique, c'étant fait implanter un embryon directement dans la ventre, ne pouvant avoir d'enfant autre que par ce moyen. Mon père adoptif était un très bon médecin, travailleur, attentif, aimant, il m'a toujours considérée comme sa propre fille, et je l'ai d'ailleurs toujours considéré comme mon seul et unique paternel. Il n'a jamais réellement compris pourquoi j'étais mentalement atteinte, il ne comprenait pas d'où pouvait provenir ce trouble, ayant lui-même choisit le donneur de sperme, remontant dans l'arbre généalogique de se dernier jusqu'à venir à l'ancien temps, où les écuyers servaient vaillamment leurs maîtres templiers. Pendant presque la moitié de sa vie passée avec maman il chercha l'homme parfais, celui qui donnerait une petite fille seine avec une santé d'acier et dés l'instant où mes yeux s'ouvrirent, il passa ses quelques dernières années de sa vie à comprendre pourquoi .. pourquoi j'avais ce syndrome, et d'où pouvait venir le problème .. Ma mère qu'en à elle était une journaliste intellectuelle très réputée dans tout le continent américain. Elle était dotée d'une douceur incomparable et d'une volonté de vivre plus qu'impressionnante, maman trouvait toujours les mots pour faire sourire, faire rire, fait réconcilier n'importe quel être-humain vivant sur cette planète ayant un minimum de cœur et de raison. Un exemple pour moi .. J'ai toujours voulu suivre son exemple, voyager à travers le monde comme elle avait l'habitude de faire avec son travail, faire de magnifiques reportages sur des pays reculés, oubliés du monde, sur de nombreux animaux, des plantes, des imposantes forêts tropicales ... apprendre à vivre et profiter de ses merveilleuses choses qui nous entourent et que, peu-à-peu la main de l'homme réduit en cendre, condamnant au passage l'humanité à une fin funeste et douloureuse .. Pardonnez-moi. Je m'égare comme très souvent .. Nous parlons ici de l'histoire de ma vie, pas de la fin du monde, aussi proche ou éloignée qu'elle soit .. J'en reviens à cette maladie mentale qui m'a frappée à l'âge de six ans, j'ignore comment, du jour au lendemain elle c'est développer dans mon cerveau et causé autant de mal autour de moi .. Schizophrénie : Dislocation de la personnalité. Cette maladie mentale d'une extrême complexité se développe le plus souvent chez de jeunes adultes. Les psychiatres font ce diagnostic de personnalité disloquée lorsque coexistent ou se succèdent des comportements anormaux tels que les hallucinations, visuelles ou auditives, le langage délirant, hermétique ou chaotique, les conduites incohérentes. On note aussi une humeur dépressive ou exagérément euphorique, une désorganisation de la pensée, une grande perturbation des relations affectives. C'est ainsi qu'il définissent, dans le dictionnaire, le mal qui c'est subitement emparé de moi. «Dislocation de la personnalité», «se développe le plus souvent chez les jeunes adultes», «grande perturbation des relations affectives» .. Je vis donc avec cet «autre-moi» depuis maintenant quinze longues années, il est rare qu'elle se montre, du moins maintenant. Étant plus jeune, j'étais constamment confrontée à mon «coté obscure», régulièrement je fessais des sortes de crises et là, l'autre prenait entièrement possession de mon corps, de mon âme, la pourrissant jusqu'à la racine, me fessant oublier la différence entre le bien et le mal, la réalité de l'imaginaire .. mes ami(e)s, de mes ennemi(e)s ... m’obsédant complètement, rayant même de ma tête, l'existence de ma propre famille, me transformant en une sorte de bête furieuse et sauvage enfermée dans une cage, essayant pas tout les moyens possibles, bons ou mauvais, de s'enfuir, de partir très loin .. Dans les dernières années de leurs vies, mes parents m'aidèrent beaucoup à faire le vide, à contrôler mes émotions ainsi que ma maladie mentale, voyant bien que je dépérissais un peu plus chaque jours que Dieu m’obligeai à vivre dans la souffrance, la colère et la folie. Papa et maman refusaient catégoriquement de me faire interner ne voulant pas que je devienne encore plus folle et déprimée que je ne l'étais déjà. Ils me gardaient à leurs petits soins à la maison, dans une pièce spéciale crée lorsque mes crises apparaissaient, m'isolant du monde et des quelques relations que je m'étais fais dans le jardin d'enfant .. C'est le jour de mon dixième anniversaire que mes parents me furent violemment arrachés, nous étions tout les trois en voiture, ils avaient réussit à avoir une autorisation d'un médecin spécialisé afin de me faire sortir au zoo le temps de quelques heures pour marquer le coup. Je n'eus pas le temps d’apercevoir le moindre lion, le moindre hippopotame, ou encore les poils d'un singe volant de lianes en lianes. J'avais bien remarquée que mes les relations de mes parents ce dégradées de plus en plus au fil des saisons, et j'en tenais mes troubles principalement responsables, et donc moi par la même occasion. Une violente dispute éclata dans la voiture, ma mère pensait que cette excursion n'était vraiment pas une bonne idée, alors que mon père, certain du contraire, essayant de resté concentré sur la route, hurlait des mots méchants au nez de maman. Ils jouaient à celui qui criait le plus fort, du moins c'est ce que je pensais, assise à l'arrière, sur mon siège rehaussée, observant les yeux de papa et maman dans le rétroviseur intérieur, amusée par le petite spectacle auquel j’assistais. Bien que mentalement atteinte, j'étais dotée d'une intelligence normale, même plus évolué qu'un enfant de mon âge, j'aurais pu retourner à l'école, étudier comme une gosse normale et sans problèmes, mais ma mère s’entêtait toujours, ne voulant pas qu'il m'arrive quoi-que ce soit, ce que d'ailleurs, je soutenais beaucoup. Ma mère haussa de nouveau le ton ce qui agaça que plus mon paternel, riant aux éclats sur le siège arrière je me mis aussi à hurler comme eux, voulant les imités, seulement ma voix n'était pas douce et agréable, mais stridente et maladive. Les choses se passèrent très vite ensuite, ma mère voulu me calmer mais cria plus fort encore, mon père, fou de rage se retourna et me mis une puissante gifle sur la joue droite, alors que mes hurlements redoublaient et qu'une nouvelle crise prenait possession de mon corps. Brusquement, deux faisceaux lumineux nous éblouirent, mon père ayant tourné la tête vers moi, avait débordé sur l'autre côté de la route et maintenant un énorme camion foncé à toute allure sur nous, mêlant à mes cris ses coups de klaxon effarouchés. Mon père braqua brusquement le volant vers la droite, enfonçant la voiture dans l'épaisse forêt que nous étions en train de traverser, puis brusquement il y eu un bruit sourd, et une secousse violente, mes cris cessèrent tout comme ceux de ma mère essayant de me calmé, la voiture s'arrêta, le par-choc détruit par un immense érable là depuis de nombreuses années ... Je ne crois pas m'être vraiment remise de cet accident, normal allez-vous me dire .. ça fait toujours quelque chose de perdre ses parents ... J'étais la seule survivante, et après m'être complètement rétablie, les docteurs m'envoyèrent dans l'asile psychiatrique qui m'attendait depuis bien longtemps .. J'ignore si aujourd'hui je suis « guérie» le peut-on seulement lorsque nous sommes atteins de troubles mentaux aussi violent ? J'ai passée mon adolescence dans l'asile, de mes dix à mes dix-huit années .. Aujourd'hui je suis en route pour l'académie d'arts de Miami, où ma mère avait appris le métier de photographe, bien que passionnée par les photos moi aussi, mes pas se diriges plus vers la musique où je peux canaliser mon énergie et me lâcher en toute tranquillité. Je compte bien avoir un aussi bon parcours professionnel que ma mère et réussir afin que, d'où ils sont, mes parents soient fières de leurs petite fille, aussi schizophrène qu'elle soit .. «Je voudrais inonder certaines parties de ma mémoire, afin de ne plus jamais avoir à m'en rappeler ..» Contrairement à certains malades mental, je suis loin d'être infernale, même lors de mes plus grosses crises, il m'arrive parfois de devenir violente, méchante et insultante, mais je suis loin du malade empoignant son couteau pour découper tout le monde en rondelles. Fut un temps j'aurais pu, mais après l'accident et ses nombreuses années passées chez les dingues, j'ai pris beaucoup sur moi et arrive maintenant à contrôler certaines pulsions néfastes. Je ne fais plus beaucoup de crises, et donc mon autre-moi ne revient que rarement me hanter, disons que c'était lors de fortes émotions que la deuxième Torrance fait surface et prend possession de mon être tout entier, me rongeant l'âme. Lorsque ce genre de chose arrive je m'enferme à double tour quelque part, loin des autres et j'essaye de ma calmer par moi-même, dés fois ça marche, dés fois non et il m'arrive de rester une journée entière sous la garde de «l'autre» enfin, au moins ce n'est pas une dangereuse psychopathe ou une séductrice acharnée, sautant sur tout ce qui bouge .. Sinon, lorsque je ne suis pas possédée par ce «truc» je suis quelqu'un de plutôt réservée, quoi de plus normal d'ailleurs, souvent effacée et dans ma bulle, j'évite le contact avec les gens de mon «espèce» canalisant mon affectif sur mes bêtes de compagnies. Lorsque les gens me parlent, j'évite toujours de leur répondre, quitte à être insultée, évitons que ce soit de malade mentale schizo. Il m'arrive parfois de me lier d'amitié avec quelqu'un, mais il est très rare que je lui avoue mon secret, n’ayant quasiment jamais confiance et donc, rapidement, l'amitié entre nous s’estompe et disparaît. Cependant, je suis quelqu'un de très sociable et extrêmement polie, très bien éduquée j'ai appris depuis mes trois ans à être convenable devant quelqu'un, peu importe l'âge, la classe sociale, ou le métier de mon interlocuteur. D'ailleurs, cette sympathie et se sourire constant accroché à mes lèvres m'a valu une place de serveuse dans un Starbucks Coffee juste en face de l'établissement scolaire où je vais. La patronne et quelqu'un de formidable, qui bien évidement connait tout de ma vie, et se montre vraiment très protectrice et douce envers moi, je l'aime vraiment beaucoup et je crois que c'est réciproque. Je pense même pouvoir la qualifiée de véritable première amie .. Je suis influençable à mon plus grand regret, mais aussi très ouverte d'esprit, intelligente et cultivée, il est très simple de tenir une conversation digne de se nom avec moi, enfin encore faut-il que j'ai assez suffisamment confiance en vous pour vous parler comme il se doit ..

“ Luce ile Ω Chaton ” I'm dix-neuf ans ● née le neuf novembre mille-neuf-cent quatre-vingt onze à paris ● français avec origines russes& polonaises ● hétérosexuelle ● étudiante en bts deuxième années en maréchalerie ● le forum m'a était présentée par partenariats forum et par publicité sur msn par la fondatrice ● rien n'a dire, c'est parfais comme toujours ت « FUCK A DUCK CAN YOU SEE AND YOU FLY » FEAT. AMBER HEARD